Je t’aime
Comme le cœur d'un tyran,
Qui désir annexer une terre aux immenses richesses,
Dans l’enceinte de son royaume,
Je te veux à une envie exorbitante et démesurée,
Comme l’asservissement d'un opprimé,
Qui aspire à une lueur d’espoir,
Quant à sa
domination,
Je te désire à une soif de liberté,
Qui laisse couler des larmes,
Pour exprimer un vide dans son existence,
Je te souhaiterais tant dans ma vie.
Comme un oiseau migrateur,
Qui a fait le tour du monde,
Je souhaiterais me poser sur tes branches,
Afin de profiter de ton ombre et de ta fraîcheur.
Comme l’oxygène,
Qui survient de nulle part,
Je souhaiterais exister dans ton atmosphère,
Ainsi t’apporter l’essence de ta destinée.
Comme un amoureux,
Qui ; submergé par l’envie,
Je te veux toujours près de moi,
Tapis dans mon esprit et endormis dans mon âme.
Vedette de ma conscience,
Faiblesses de mes forces,
Supplice de mes pensées,
Pulsation de mon cœur,
Ton image dévore ma raison,
Ainsi ma raison peint mon imagination,
Et mon imagination voltige,
En me rendant fou de toi.
Je suis parce que tu existes,
Tu es les instants de mon temps,
L’espace de mon univers,
L’anxiété de ma mémoire.
Tu es l’équation qui trouble ma réflexion,
Le tourment qui dévore ma logique,
Le lit de ma source,
Et sans toi, je ne pourrais couler.
Comme la graine qui donne l’arbre,
Tu as germé dans ma tête,
Et tes racines se sont implantées dans mon cerveau,
Ainsi je ne pourrais m’empêché de penser à toi.
Je
t’aime !
Je t’aime !
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